Edhelthin Fingalad d'Imladris, Capitaine des Rôdeur du Nord

Le Balrog et le puit des âmes

*Assis à son bureau le Capitaine des Rôdeurs, trace de sa plume des tengwars sur son livre ou il compile ses mémoire*

(Pour vous faciliter la lecture le texte à été traduit du Sindarin^^)

Alors que je rentrais une fois de plus d'infructueuses recherche concernant ma soeur, je laissais la maison des rôdeur et continuais ma marche vers Bree. Je voulais prendre un repos bien mériter mais je devais m'assurer de la sécurité du village avant toute chose. A peine arrivé à Bree je croise Raraldur, lui aussi revenait d'un long périple. Nous commençames à discuter de choses et d'autres sur la place près du puit assis sur le banc. Quand soudain Raraldur me demanda qui était cette veille femme qui était la et qui marchait sans arrêt en marmonnant des choses inconprhéhensibles au sujet d'Anuminas.

Qui est cette femme? demanda t'il à mi voix.

J'accordais ma voix sur la sienne et baissa d'un ton également. - Elle vient - d'Anuminas ou de grands maux se sont abattus.

- Quels maux? retorqua t'il piqué par la curiosité

La conversation devenait trop sérieuse et trop grave pour continuer a en parler ainsi en plein milieu de Bree, les murs ont des oreilles. J'invitais donc Raraldur à me suivre au poney fringant en lui expliquant que la bas je serais plus libre de lui conter les événements qui se passe à Anuminas. A peine installés la serveuse vint nous voir et prendre notre commande. Elle s'en alla, j'en profitais pour lui expliquer.

- Voyez vous, Anuminas vit de graves troubles en ce moment. Une créature rôde alentour et tue tout ce qui passe à portée de main.

- Mais de quelle créature s'agit t'il la? demanda le jeune semi elfe.

Avant de répondre je pris bien soins de regarder autour de moi afin d'etre sur de ne pas être espionner pas qui que ce soit. Satisfait je me tournais vers lui et lui lanca la réponse : Un Balrog de Morgoth. A la mention de ce nom Raraldur pâlit un peu mais repris bien vite contenance en affirmant ce qui était entendu comme acquis depuis des milénaires: les balrogs de Morgoth ont cessés d'exister en même temps que leur maître. Je lui racontais alors comment certaines de ces immondes créatures parvinrent à se refugiées dans des souterrains profonds ou des grottes obscures lors de la guerre qui changea la face de la terre.

Raraldur paru secoué de l'évantualité de rencontrer un tel advesaire. Moi même je tremble à la pensée d'un balrog; la dernière fois que j'en ai affronté un Sorondàrë été à mes cotés. Il avait déchainer la fureure magique contre le balrog qui ne put résister longtemps à ses assauts.

En sortant du poney je proposais à Raraldur d'effectuer une petite patrouille. j'ésperais croiser quelques gobelins ou orques, qui se montrent de plus en plus menaçant autour de Bree et leur donner une bonne lecon.
Nous avancions sans prendre garde de la direction. Au bout d'un temps on s'est apercus que nous étions tout à coté d'Anuminas. Je demandais à Raraldur s'il voulais jetter un oeil et vérifier la présence du balrog. Je ne posais la question que pour lui laisser le choix, car j'avais dans l'idée d'aller voir de quoi il retourne avec ou sans lui. Raraldur fit preuve de courage en annoncant son intention d'aller la bas aussi.

Ainsi nous continuons notre route. Route qui devait dans un premier temps se retrouver envahie par des succubes, et des molosses maléfiques. Tandis que Raraldur montrait ses qualités d'épéiste, je fesais voler mes fléches. Pas une ne rata sa cible. Bientôt nous fûment entouré de cadavres de succubes, le sol était sec à cet endroit, le sang stagnait.

Rassénérés par cette escarmouche qui avait tournée en notre faveur nous avons repris la route. Ce qui se passa ensuite n'est que violence et brutalité. Des golems d'aciers et des horreures casquée nous attendaient depuis un certain temps déjà aux vues du nombre présent. Ils lancèrent la charge. Raraldur se tenait fermement campé sur ses pieds, attendant le choc inévitable de la mélée. Un peu en avant je vidais mon carquois de ses dernières fléches. Dans un sifflement strident et un bruit de métal déchiré les fléches traversèrent les lourdes armures de nos assaillants. Nombreux sont les advesaires qui n'eurent pas le temps de donner un seul coup d'épée. La distance, maintenant trop courte me fit sortir mes lames. Raraldur se battais comme un forcené aux prises avec deux golems. Il s'en sortait bien pour l'instant. Hélas il croulait sous le nombre toujours grandissant de nos agresseurs. Je tentais de le rejoindre afin de lui préter main forte, nos lames tranchèrent les chairs et les tendons, pércèrent les organes vitaux des golems. Des têtes volèrent en tout sens durant notre progressions.

Enfin, nous arrivons à éliminer les derniers golems. Par mesure de précaution je passais devant me servant de ma connaissance de la nature pour me dissimuler du mieux possible. Aucune trace du balrog, celui ci devait s'être souvenu de la leçon reçue par Sorondàrë. Rassurés de ne pas en trouver traces nous continuons à parcourir Anuminas. Au milieu s'élève une colline sur laquelle est batti un temple. Raraldur et moi y avons vu quelques golems. Nous avons décider de proceder au nettoyage afin de rendre sa sécurité à ce lieu. Mal nous en pris hélas...

Au milieu du combat que nous domminions sans peine à présent, un hurlement se fit entendre. Je vis Raraldur tuer son adversaire, et faire presque aussitôt volte face et se ruer à l'abris dans le temple. Je compris pourquoi en voyant la jambe massif du balrog se dessiner dans l'ouverture de la porte. Le balrog se jetta sur nous aussi vite et avec autant de brutalité que nous ne sommes pas arrivés à sortir de ce piège. Il nous tenait. Le balrog rentra et se mit à frapper, je parais ses coups avec grand peine, Raraldur pris un sale coup à la tête et tomba inanimé au sol. De suite je détournais l'attention du Balrog afin qu'il me suive. Je sortais de ce temple la mort sur les talons. pour tomber face à face avec une escouade de golems.

Un balrog derrière, des golems devant... La situation était déséspérée, j'empoignais mon bouclier, conscient cette fois que la défense valait mieux que l'attaque (combien de fois ai-je faillis le vendre ce bouclier^^).
Leurs armes s'écrasaient sur mon pavois, je profitais des ouvertures pour asséner mes coups les plus terribles, je fendais le groupe de golems gardant la distance entre le balrog et moi. Les golems ne purent tenir trés longtemps je les renvoyaient uns à uns chez Mandos. Mais le Balrog restait. Ainsi mon heure était venue. L'épée enflammée du Balrog s'abattis en sifflant, je pus esquiver et frapper... A ma grande surprise, ma lame ne s'était point brisée, elle avait même réussis à transpercer le cuir épais du Maia déchu. Voyant cela je passais d'une attitude défensive à une attitude offensive. Le balrog dus reculer face à la puissance des lames Elfes de Fondcombe. Je le jettais finalemet à bas, mais non sans mal. Raraldur repris connaissance. Je fus satisfais de le voir vivant et pas trop gravement bléssé.

En rebroussant chemin je vis des gens, intrigués de leur présence j'allais me renseigner auprès d'eux sur la raisons de leur venu dans ces lieux. C'était des scribes du Gondor. ILs devaient chercher des choses dans la biblitothèque mais la venue d'Azagoth, car tel est le nom du balrog, leur as empecher de continuer leur travaux. Ils nous apprirent aussi que la se trouvait le puit des âmes, l'endroit ou les âmes des nouveaux nés se retrouvent avant de commencer leur vie terrestre. Si Azagoth avait trouvé ce passage et l'avait emprunté, il aurait détruit les âmes et plus aucune naissance n'aurais eu lieu. Notre patrouille à été plus mouvementée que prévus. Mais bien plus enrichissante.

En nous en allant nous avons détruit les derniers Succubes rescapés de la première attaque. Direction Bree et l'auberge du poney fringant, nous avons bien mériter de boire une bonne bière. Raraldur à fait preuve de sa bravoure, il ne lui reste plus qu'a devenir un guerrier accompli. Quand à moi... Je prendrais bien un peu de repos, vaincre ce balrog m'as épuiser.

*Edhelthin range la plume et ferme l'encrier, puis souffle sur les chandelles illuminant le bureau de sa chambre et s'en va au lit*

Des Elfes des Hobbits... et des champignons

Depuis longtemps Bree semblait calme, trop calme. Et tout cela ne me disait rien qui vaille.

L'Ombre d'habitude prompte à lancer des attaques ne s'est pas laisser voir depuis quelques mois. Je ne m'en plaint pas. Assumer de concert le commandemant de la Milice de Bree et des Rôdeurs n'est pas tâche aisée. Cela serais encore pire si l'Ennemi ne cessais de nous attaquer.

Mais les choses on changées depuis peu. Le calme tout relatif auquel Bree à eu droit ces derniers temps semble bien s'être envolé. Mais l'espoir aussi à montré le bout de son nez dans le même temps. La magie subtile de la Terre du Milieu fait effet ne laissant les Peuples Libres dans le désespoir total bien longtemps en faisant enprunter a certains des chemins qu'il ne voulaient pas mais qui les mène au lieu ou ils son utiles et cela à point nommé.

En effet un jour alors que je patrouillais dans Bree j'ai croisé un Elfe. Il disait venir d'Imladris et s'appeler Lannarian. Il se tenait la devant moi fier et l'oeil alerte. Bien équipé et prés à se battre. Après quelques échanges de politesse celui ci me dis être venu ici afin d'en découdre avec les Orques, envers lesquels il semble voué une haine extrème confirmant ainsi ma première impression. Ne pouvant m'attarder plus longtemps je le laisse la non sans lui souhaiter un bon séjour à Bree et m'en retourne à mes patrouilles quotidiennes.

De retour de patrouille je croise Raraldur mon veil ami. Nous échangons quelques mots sur la situation stratégique. Ce qu'il m'apprend me confirme ce que je pensais. L'ennemi n'as cessé ses attaques que pour mieux nous frapper par la suite. Lors de notre conversation, nous voyons s'approcher de nous un jeune hobbit. Il dis s'appeler M. Soucoline, Pico de son prénom. Il arrive du sud, la besace rebondie. Nous nous approchons de lui pour nous renseigner. Il nous dis revenir de ceuillette, il aurait passer ces dernières heures à récolter des champignons, Raraldur et moi ne pouvons nous empecher un petit sourire. Mais notre sourire s'efface bientot, il nous apprend qu'il va les ceuillir dans l'antre de Loogaz et que "Ces satanés Gobelins pourraient au moins éviter de marcher dessus s'il ne les mange pas". Cette phrase nous confirme donc ce que nous craignions : l'Ennemi est à nouveau à nos portes. Mais notre air perplexe ne semble pas avoir marquer le hobbit. Celui-ci en effet se lance dans la citation des milles et unes manières de préparer une platée des ces succulents légumes a la mode hobbite. Nous racontant par la suite ses souvenirs de sa tante les préparant amoureusement afin d'en régaler la famille. Toutefois nous narrant ses exploit de ceuillette il semble se rendre compte qu'il as et de loin dépassé les limites de sa chère Comté. Je crois que cela ne l'affectera guère longtemps car il prend la direction du poney et y commande derechef deux plats de champignons. Ha les Hobbits leurs insoucience et les champignons.

Guère plus tard Lannarian revient, l'armure tachée de sang. Il nous raconte sa promenade et nous confirme la présence d'orque dans la grotte. Ce Lannarian m'as l'air de quelqu'un de sérieux et de volontaire. Il me va falloir garder l'oeil sur lui. La Milice de Bree aurait t'elle enfin un Capitaine attitré?

Mais une autre question me taraude l'esprit, et ce depuis de nombreux jours. Ou est donc Palandir? Son aide serais maintenant des plus précieuses.

Les géant des Monts Brumeux et la Reine des Glaces

*Edhelthin sort son mémoire et commence à y tracer de fins tengwars d'une plume d'aigle*

Je sortais du Poney Fringant hier soir quand tout a coup, alors que je me dirigeais vers l'est en vue de retourner voir les miens à Imladris, je rencontre Lannarian sur mon chemin. Après quelques échanges de politesse bien à propos celui ci me demande vers ou je comptais me rendre. Je lui répond que mes pas aller me guidés vers les miens à Fondcombe. Lannarian se proposa de m’accompagner car lui aussi voulais revoir sa maison natale. J’acceptais avec joie. Le chemin sur la Grande Route de l’Est se déroula sans accrocs. Ce n’est que lorsque nous arrivions pres de notre demeure que les choses commencèrent à se compliquer. Alors qu’au loin nous commencions à distinguer les contours d’Imladris se découpant sur la verte forêt ; tandis que le Bruinnen suivait son cours impétueux peu après le gué qu’un son bizarre nous parvint. J’ordonnais à Lannarian de stopper, et tendis l’oreille. Peu après le même son,plus fort et plus précis cette fois se fit à nouveau entendre. Lannarian me jetta un regard sans équivoque : Qu’attendons nous pour aller voir de quoi il retourne ? J’étais on ne peu plus d’accord avec lui.

Avancant à pas de loups, nous nous approchions du défilé qui permettait de traverser les Monts Brumeux, en passant par le Haut Col. Arrivés non loin de son embouchure du coté ouest ce son se fit à nouveau entendre. Nous avons comme un seul homme saisis nos arcs et armé une flèche. D’un pas décidé, nous avancions dans le défilé. La de nombreux Géants se mirent a nous jeter leurs pierres a la figure. Mais vif comme l’éclair nous esquivions ces projectiles. Je décoché mes flèches aussi rapidement que je le pouvais tandis que Lannarian se jetta dans un corps à corps éffrainé. L’escarmouche ne dura guère longtemps. Nos adversaire gisaient la à nos pieds ruisellants de sang. Alors que nous allions faire demi-tour afin de regagner ce qui devait être notre destination finale le son se fit une nouvelle fois entendre.

-Ce n’etais point les géants Edhelthin, lanca Lannarian.
-En effet. Ma réponse fut courte, mais Lannarian saisi la portée de mon regard. Nous nous devions d’aller voir d’ou émanent ces sons.

Nous avancions parmis les géants les taillants de nos lames les transperçant de nos flèches. Jusqu’aux Carroks, Maudits Carroks. J’hésité a mener Lannarian si loin, le danger n’est guère illusion dans les Carroks et les géantrs des Montagnes font offices de gentils chatons inoffensifs à côté de ceux qui peuplent ce lieu.

- Si nous continuons dans cette direction, le danger sera présent tout du long. Et il pourrait même se montrer fatal.
- Le danger ne me fait point peur rétorqua Lannarian.
- Et bien allons y alors, mais prenez soin de toujours rester derrière moi. Ce que nous allons affronter la n’as rien a voir avec les géants rencontré dans la passe.
- Entendu, répondit simplement Lannarian, conscient sans doute que mon expérience du lieu devait nous être plus qu’utile.

Le danger arriva en effet, nombre de géants harnachés d’armures et armés de masse et de fléau nous tombèrent dessus sans crier gare. J’en abattis un de loin grace à mon habileté à l’arc. Lannarian tira lui aussi plusieurs flèches mais hélas elle ricochèrent sur les harnois des géants. Un furieux corps à corps s’en suivis. Mes lames taillaient, tranchaient faisaient couler le sang. Lannarian n’etais pas en reste pour sa par. Il se fit isolé de moi mais pus tenir bon, il parvint même à jeter à bas son adversaire. Il est plein de ressources, ces actes joueront en sa faveurs pour le poste de Chef de la Milice de Bree.

Le chemin continua, les géants nous tendirent encore quelques embuscades mais nous leurs faisions échec maintenant sans trop de mal. Plus loin l’entrée de la grotte ou se terre l’un des derniers vers de Morgoth. Sur le pas des traces de sang, et toujours ces sons, de plus en plus fort, de plus en plus pressants. Ayant déjà été m’aventurer dans cette grotte aux côtés de Sorondarë, je savais à quoi m’attendre, mais ce sang, manifestement humain était encore chaud. Je ne pouvais laisser ma peur me dominer a cet instant. Je pris sur moi et décida de rentrer dans la grotte, Lannarian me suivis de près. Le chemin dans la grotte ne fut que violence et bains de sang. Mais malgré nos recherches aucunes traces qui pouvait nous aider à) retrouver le malheureux qui fut pris au piège dans le défilé , peut être était t’il déjà trop tard ?

Nos recherches nous menaient sans que nous nous en rendions compte au plus profond de la grotte. Tant et si bien que nous arrivions dans l’antre du vers. Celui-ci nous surpris et nous attaqua. Par quel miracle nous nous en sommes sortis je me le demanderais toujours. Nous avons fuit, mais dans notre fuite je pus remarquer un jeune humain attaché, il paraissais inconscient. Lannarian et moi même étions tombés d’accord sur ce point, la force brute ne nous serais d’aucune aide face à un tel adversaire. Nous avons donc décider de demander conseil à Alatar, le sage qui habite Tharbad. Le chemin bien que long fut vite parcourus.

Alatar nous révéla que nous ne pouvions rien faire contre ce vers. Qu’il était bien au dessus de nos compétences de le battre. Mais dans un sourire il nous remis à chacun un morceau de parchemin qui selon lui devait nous permettre de passer au nez et à la barbe du dragon sans que celui ci nous repère.

Alors que nous allions nous remettre en route M. Soucoline fit irruption. La gaieté des Hobbits et toujours la bienvenue, mais même a cet instant il ne pus m’arracher un sourire. Nous lui avons brièvement expliqué ce qui se passais et il émis le souhait de nous accompagner pour nous prêter main forte, arguant qu’il fallait un guerrier de valeur pour que nous puissions avoir une chance de nous en sortir.

Le chemin vers la grotte se fit dans le calme. Cependant, les géants armés avaient eu le temps de réorganiser leurs défenses. Notre deuxième passage ne fut guère lus calme que le premier, plus agité même.

Voilà que nous nous retrouvions une fois de encore devant l’antre du Dragon. Lannarian Pico et moi même avons utiliser les parchemins fournis par Alatar. Prêts nos nous engagions dans la gueule du loup, sachant qu’a n ‘importe quel moment elle pourrait se refermer sur nous. La magie d’Alatar est puissante, durant un instant nous pûmes marcher librement sans même attirer son attention sur nous. Pico et Lannarian se dirigèrent vers l’humain captif, et le délivrèrent. C’est à partir de la que tout commença à aller de travers. Le Dragon loin d’être dupe ne se laissa plus abuser par le sort d’Alatar. Il se mit à nous charger comme si nous lui avions prit la totalité de son or, et Manwë sait que les Dragons aiment l’or, même s’il n’en profite jamais autrement que comme matelas pour se reposer. La, la lutte fut inégale, bien que trois nous ne faisions pas le poid face au vers. Il frappait lançait des sorts et rattait sa cible que rarement. Comment avons nous fait pour nous en sortir je n’en sais rien. Les Valar devaient nous surveiller, je ne vois guère d’autres explications plus plausibles. Mais malgré leur aide aucun de nous ne n’en s’est sortis intact. Nous étions tous trois à l’article de la mort lorsque Mithrandir arriva à notre rescousse.
- Alatar m’as dis ou vous alliez. Fous que vous êtes !!! Jamais vous n’auriez au la moindre chance sans mon intervention. Le mage gris ne pus s’empêcher de nous réprimander. Et vous Edhelthin Fingalad fier Capitaine des Rôdeurs du Nord, qu’alliez vous donc faire ici, connaissant le danger ? Sauver une vie ?Vous me décevez car nous avons faillis en perdre quatre. Mais vous avez fait preuve d’un grand courage, et d’une idiotie toute aussi grande, et pour cela vous avez faillis payer de votre vie. Que cela vous serve de leçon à tous les trois. On ne défie jamais un vers sans être accompagné d’un Istari, ou d’un mage puissant.
Je n’étais pas fier de moi ; Mais intérieurement je savais qu’au moins notre malheureuse expédition avait servie à révéler au grand jour le courage de mes deux compagnons. Lannarian est M. Pico Soucoline. Gandalf nous accompagnas jusqu'à Fondcombe, ou nous fumes soignés.

Jamais plus je n’affronterais un tel adversaire sans être accompagné d’un Mage. Cette leçon la, oui, je l’ai retenue.
*Edhelthin repose la plume dans l'encrier. Sèche les dernières lignes d’encre avant de fermer son livre et de prendre encore un peu de repos, car demain les Rôdeurs auront besoin de lui à nouveau*

Raid sur Carn dûm

Notes d'Edhelthin Fingalad Capitaine des Rôdeurs du Nord.

Alors que je patrouillais au alentours de la grande route d el'est de nombreux cris attirèrent mon attention. Furtivement je me dirigeais vers la source de ces bruit , qui en m'approchant semblait de plus en plus ressembler à des hurlements d'orques afin d'en apercevoir l'origine. Mon ouie ne me trompa guère il s'agissait bien la de plusieurs centaine d'orques en route vers Bree.

Sans plus attendre je me dirigeais vers le refuges des Rôdeurs du Nord ou je pris avec moi quelques hommes de repos ce jours la. Ensemble nous avons commencé à harcelr les orques avant qu'ils n'atteignent leur destination. Nombreux sont ceux qui périrent sous nos fleches. Cependant un nombre important pus continuer à avancer et à semer la désolation dans cette bonne ville d eBree; Fort heureusement pour la ville j'y avait apercus Lannarian et M. Soucoline. Accompagnés par plusieurs membres de la milice ceux ci parvinrent temps bien que mal à repousser l'adversaire. Voyant que le combat serais remporté par les miliciens de Bree, j'ordonnais à mes hommes de repartir sur la route d el'est afin d'intercepter les orques survivant qui tenterais de fuir. Pendant ce temps je me dirigais vers Carn-Dûm d'ou semblais venir l'attaque.

Arrivé à quelques centaines de metres de la cité maudite, mes craintes furent confirmées, deux gardes parlaient ensemble de l'expedition contre Bree en se gaussant de la tête qu'aller faire les gardes en voyant une si grosse armé marché vers eux. D'une fleche je mis fin à l'hilarité des gardes. Pendant qu'un des garde regarder tomber sans vie le corps de son compagnon je me glissais derrière lui et lui trancha la gorge sans même qu'il ne s'apercoive de ma présence.

Je continue ma route pour finalement tomber né à né avec deux autres gardes. Ceux la parraissaient mieux entrainer, la lutte fut acharnée. Mais jeparvins tout de même à m'en sortir vivant, ayant toutefois récolter au passage diverse blessures bégnines. Voulant avancer sur le pont un bruit venant de derrière me fit faire demi tour pres à bondir sur les assaillant éventuels. Mais en fait d'assaillant il s'agissait de Lannarian et de M.Soucoline qui etaient venus ici dans l'espoir de punir Carn-Dûm de son assaut sur Bree.

Maintenant que nous sommes 3 al donne change, plus sur d emoi je n'hésite pas à provoquer le gardien du pont. Mes lames lancèrent des éclairs en entrant en contact avec son armure, mon bouclier nain résista et m'offris la protection idéal pour résisiter aux assauts sauvage du gardien; Attiré par le bruit de la lutte deux gardes se ruèrent sur moi, mais ils furent ceuillis par le sfleches de Lannarian et les pierre justement expedié par la fronde de M.Soucoline. Quelques secondes plus tard une mare de sang s'etendais à mes pieds, s'ecoulant des 3 corps des gardes. Remonter par cette victoire nous avons poussé plus loin et somme arrivé jusqu'a l'entrée même de Carn-Dûm. La les choses ne se passerais aps comme avant, des notres arrivé plusieurs gardes nous tombèrent dessus et nous avons du nous separer pour pouvoir en venir à bout.

Une fois débvarrasser des gardes d ela portes nous avancons dans la cité, aux aguets pret à bondir à couvert au moindre signe d'attaque. Signe qui ne tarda d'ailleurs pas à arriver. De nouveaux plusieur gardes foncèrent sur nous à bras raccourcis, pret à en découdre. D'une fleche j'en stoppais un, lannarian en blessa un autres sérieusement tandis que M.Soucoline de sa fronde en sonna un autre.

La lutte tourna à notre avantage lorsque la Main Noire surgit de l'ombre et nous tomba dessus. D'un coup il mis M.Soucoline à terre. Et maintenant d'un pas assuré il se dirige vers Lannarian. Je devine la peur de ce dernier en voyant un tel adversaire foncé sur lui. Quand à moi j'étais bien trop occupé avec deux gardes pour pouvoir immédiatement me lancer à son secour, bien que je doutais lui etre d'une quelquonce aide contre un adversaire comme cela.

Lannarian fut lui aussi jeté à bas. Je devenais maintenant la cible de la Main Noire. J'ai pus me débarrasser des gardes juste avant que le corps à corps violent s'engage. Je frappais de mes lames elfiques du plus fort que je pouvais, mais la Main Noire est vif, esquivant mes coups les plus terribles. Je changeais de tactique et décider de sacrifier ma défense, je sortis ma deuxième lames. Face à cela la Main Noire du reculer, mes lames le taillais, mais dans des reflexes de survie rare il put quasiment à chaque fois accompagné mes mouvement ce qui empecha mes lames de le pourfendre de part en part. Mon armure quand à elle absorba les chocs du mieux qu'elle put, mais je sentais la fatigue me gagner. La lutte était inégale et cet adversaire plus fort que moi. De plus il semblait aider par l'Ombre en personne car chaque fois que je le touchais grièvement, ses palie se refermaient aussi vite que je ne les ouvrais. Qu'aller t'il se passer? Serion nous condanné à lutter l'un contre l'autre jusqu'a que la fatigue permette à l'un ou à l'autre de prendre le dessus? Il semblais plus fort et plus résistant que moi, ce combat me menera à ma perte.

Conscient de cela, j'ai mis quelques espaces entre la Main Noire et moi; Je profitais de ce répis tout relatif pour trouver une solution qui me permettrais d'en réchapper. Un échaffaudage etait disposer la, c'était ma chance; Profitant de mon habileté toute elfique je bondis sur le madrier et commenca l'escalade de l'échaffaudage. La main Noire ivre de fureure me suivis. Le combat repris de plus belle au somment de l'assemblage de palnches et de bouts de bois qui etait bien instable. J'erangeais une de mes lames et saisis aussitôt une corde accroché au batiment, de l'autre main je tranchais les cordage qui permettai à l'echaffaudage de tenir. Lalutte continua encore un court instant, puis un craquement se fuit entendre; L'echaffaudage était en train de se briser. La Main Noire n'eu pas le reflexe de s'attrapper à quelques rebord qyue ce soitr et il tomba parmis les décombres.

Ne cherchant pas mon reste je fuit vers la sortis de la ville ou à mon grand soulagemnt je vis M.Soucoline aider Lannarian à se relever, tout deux n'etaient que sonné et cela me rassura. Ensemble nous partons de cette ville maudite non sans promettre de revenir un jour venger Bree et ses morts.

- Je reviendrais Main Noire, mais ce jour la mes Rôdeurs seront avec moi et la lutte ne sera plus aussi inégale.

Une rencontre bien agitée


Aujourd'hui en cette fin de journée je patroullais du coté de Tharbad. Après plusieurs heures passées sans rien remarquer de grave je décidais de rentrer à la Maison des Rôdeurs. En chemin arriver à Bree je décidais de prendre un autre chemin que d'habitude pour rejoindre notre repère. Je sortais donc de Bree lorsque presqu'immédiatement je fut assaillis par un sentiments bien étrange, voir dérangeant. Ce sentiment je ne le connaissais que trop bien, on m'observais, non pas pour me défendre, m'aider ou me guider, mais bien dans un sombre dessin. J'avancais doucement aux aguets, prêt à laché le flèche que je venais d'encocher à mon arc. A ce moment j'apercevais, et ce pour un court laps de temps, une jeune femme qui disparus aussitot à nouveau. Plus que jamais sur mes gardes je regardais alentours, je n'étais guère rassuré je dois bien l'avouer.

A ce moment elle surgit de nul part devant moi, me regardant de haut un sourire mauvais aux lèvres qui laissèrent échapper un ricanement sadique.

Enfin je te trouve, me lancait t'elle. J'étais surpris de cette phrase car jamais je n'avais vu cette femme la avant. Je m'en serais souvenus si tel avait été le cas... en effet les deux ailes de dragons qu'elle portais dans le dos ne s'oublient pas ainsi. Ni guère le fait qu' elle me dis servire L'Oeil.

Elle ne cessa pas de me poser des questions sans jamais dire son nom. Elle me demandait des renseignements sur l'Unique et sur mon Maitre, Elrond de Fondcombe. Je lui répondit que je ne savais rien concernant le Fléau d'Isildur, et que même si je le savais je ne lui dirais rien et qu'il était préférable de mourrir plutôt que de parler si j'avais été au courant. Je ne sais pas si mon coup de bluff fonctionna, et j'en doutais sur le moment. Et il s'avéra qu'en effet elle ne s'était pas laissée bernée. Elle me jeta un sort, mais je put y resister, mais il s'en fallu de peu. Je n'avais d'autre choix que la mettre hors de combat. La lutte s'engagea. Elle invoqua plusieurs monsttre qui allaient lui preter main forte. Mais je les tuais l'un après l'autre, les éliminant aussi vite qu'elle les invoquait.

Petit à petit je parvint m'approcher d'elle suffisement pour la frapper, ce que je fit aussitôt en prennant soin de bien frapper avec le plat de la lame.Car je voulais en savoir plus sur elle. Mon coup s'abbatis sur le côté de sa tête et la fit sombrer dans l'incoscience.

Je la pritsur mon dos et me mis en marche vers la Maison des Rôdeurs ou j'allais lui prodiguer des soins et la mettre en prison. J'envoyais égalemtn deux de mes Rôdeurs prévenir Elrond et Earnil de ma capture.

Ses plaies ne saignent plus, en la soignant je vis l'endroit ou les ailes lui sortaient du dos. A cet endroit la chair était brulée, la douleur dut être intense. Cependant je n'eut guère le temps de m'appitoyer sur son sort car même plongée dans l'inconscience son visage gardait ce masque de haine, quel dommage une si joli femme...

Qui est t'elle? D'ou viens t'elle et que veux t'elle? A t'elle dit la vérité? Sert t'elle réelement l'Ombre? Cette femme est un mystère. Attendre qu'elle se réveil est la meileur des choses à faire.